jeudi 18 février 2010

Les olympiques

Le match de mardi soir face au Real Madrid (1-0) restera incontestablement dans l'histoire de l'OL. Les lyonnais n'ont rien fait de plus que de livrer leur plus belle prestation de la saison, voir même depuis le mois d'août 2008. Tout y était : confiance, qualité technique, pression, engagement... Et tout ça sur deux mi-temps. L'OL n'avait encore jamais réussi à réaliser un bon match complet. Avec du recul et connaissant la qualité de l'adversaire, on peut seulement reprocher aux lyonnais de n'avoir pas su (pu) inscrire le deuxième, voir troisième but qui aurait pu grandement les soulager avant le match retour, dans trois semaines. Il sera difficile de résister à l'armada offensive madrilène, qui jouera chez elle à Bernabeu, mais en même temps, qui n'aurait pas signé avant le match pour un 1-0 ? Moi le premier, j'étais à peu près sur de voir l'OL en encaisser au moins deux mardi soir. Mais la charnière Boumsong - Cris renaît petit à petit, et voilà maintenant trois matchs de suite, toute compétitions confondues, que l'OL n'a pas encaissé de but, un exploit cette saison.

Au départ disposés en 4-3-3, les lyonnais en sont presque venus au 4-1-4-1, avec Toulalan devant la défense. Un système qui s'est particulièrement bien adapté à la physionomie du match et permis de contrer la puissance offensive du Real. Kaka inexistant, Ronaldo emmêlé dans ses dribbles et Higuain bloqué entre Boumsong et Cris, il était dès lors difficile pour les Merengues de s'approcher des buts de Lloris. Il leur était d'autant plus difficile d'avancer qu'il leur fallait surveiller les couloirs olympiens : les tandems Cissokho / Delgado et Reveillère / Govou ayant fait des misères à la défense madrilène.

Cette rigueur technique et tactique prit tout son sens lors de cette 47e minute, après un énième ballon récupéré par Boumsong. Makoun avait alors tout le temps d'avancer tranquillement, de placer son ballon, et de décocher une frappe splendide qui allât dans la lucarne gauche de Casillas. On remarque dans cette action la faiblesse défensive du Real, qui n'a en aucun été presser le milieu lyonnais, et continué de défendre tout en reculant, trop attiré par les déplacements de Lisandro.

Grâce à ce ce but, Makoun aura pris sa revanche sur les supporters qui le sifflaient depuis la fin de l'année dernière. Une belle renaissance donc, pour un joueur physique qui pourrait faire du bien au milieu lyonnais si la confiance suit. Difficile de parler d'individualités tant tous les lyonnais ont hissé leur niveau de jeu et fait face au Real Madrid. Il faudra à présent confirmer dans moins de trois semaines, devant 80 000 madrilènes prêts à tout pour voir leur équipes se qualifier en quarts de finale. La tâche s'annonce ardue, mais l'OL semble cette saison sur un nuage les soirs de Ligue des Champions.

mercredi 30 septembre 2009

C'est beau la Hongrie

L'OL n'a pas failli à sa mission, hier soir face à Debrecen, pour le compte de la 2ème journée de la Ligue des Champions. Il fallait qu'il gagne, il l'a fait, et accessoirement soigner sa différence de buts, il l'a fait aussi. Avec un banc décimé de joueurs d'expérience, mais rempli de jeunes voulant prouver qu'ils sont bien à leurs places au sein de l'effectif professionnel, l'OL a su se rendre le matche facile en menant 3-0 à la 24ème minute de jeu..! Mais le score ne précise pas que les lyonnais ont eu quelques frayeurs, surtout en deuxième mi-temps, conséquence de l'entrée en jeu côté hongrois de Rudolf, très bon hier soir. Pas d'erreurs défensives cette fois, Cris et Toulalan ayant bien tenu l'attaque hongroise. Cette charnière là est solide et pourrait bien ne pas changer jusqu'au retour du très attendu Boumsong.

Mais les lyonnais se sont aussi rassurés sur leur puissance offensive, moins en vue en septembre qu'en août. Les abscences de Bastos, Delgado et Lisandro se faisaient ressentir sur le terrain, mais en marquant quatre fois (par quatre buteurs différents), l'équipe a fait taire l'idée naissante d'une Lisandro-Bastos dépendance. Govou, Kallström, Gomis et Pjanic, tous les quatre buteurs hier soir, ont montré qu'il fallait compter sur eux pour cette saison, avec mention spéciale aux deux derniers : Gomis ayant inscrit son troisième but consécutif en autant de rencontres, et Pjanic honorant fièrement le numéro floqué sur son dos, à croire qu'il est magique. Juninho peut dormir tranquille, la relève est assurée.

dimanche 27 septembre 2009

Une mi-temps pour réagir

À l'heure qu'il est, Mathieu Bodmer doit se poser des questions. Fantomatique hier soir lors de la première mi-temps du matche face à Toulouse, sa blessure aux adducteurs pourrait bien être le tournant de sa carrière. Remplacé au bout de 45 min désastreuses, confortant ainsi mon opinion (et celle de beaucoup d'autres) que sa vraie place n'est pas en défense centrale, il n'était de toute façon pas dit que sans cette blessure, Claude Puel ne l'aurait pas rappelé sur le banc de touche. C'est simple : sans lui, ça n'était plus du tout la même équipe. Inerte et bousculé par des toulousains bien placés et toujours dans les bons coups, l'OL a vécu une première mi-temps difficile. Dès la 8ème minute, Bodmer a donc "offert" sur un plateau l'ouverture du score à Sissoko, bien aidé ensuite par Cris. Décidément, cette défense centrale est complètement à revoir. Le policier n'est plus ce qu'il était, mais on lui laissera le bénéficie du doute tant sa deuxième mi-temps aux côtés de Toulalan était nettement supérieure à la première. Toulalan qui pourrait bien prendre définitivement la place de Bodmer en défense centrale, en attendant le retour de Boumsong. Auteur encore une fois d'un prestation formidable, il est bien le maillon fort de l'équipe.
En 4-4-2 avec l'entrée de Tafer aux côtés de Gomis, l'OL a su retrouver son jeu avant d'égaliser puis de prendre l'avantage grâce aux deux cités précédemment. Emmené par un Pjanic un peu trop individualiste, mais tellement "Juniniesque" sur les coups-francs, les gones ont sur faire oublier les absences de Delgado, Bastos, Lisandro et Ederson. Gomis, meilleur buteur du club avec 4 buts en Ligue 1, semble surfer sur la vague qui emmène l'OL vers de beaux horizons. Bodmer, lui, se pose toujours des questions.

lundi 21 septembre 2009

Là-haut, Hugo

Les supporters de l'OL ne regretteront pas la décision de Mr Fautrel, l'arbitre de la rencontre de Paris-SG-Lyon, d'avoir accordé ce but à Gomis à la 85ème minute alors qu'il était hors-jeu au départ du ballon sur la passe de Lisandro. Dans le doute, avantage à l'attaque.
Mais à vrai dire, les lyonnais étaient très mal partis pour préserver leur invincibilité cette saison, et encore moins pour enchaîner un 8ème succès consécutif, toute compétition confondues. En alignant trois milieux récupérateurs et en laissant Pjanic sur le banc, Puel avait mis l'accent sur le physique au détriment de la technique et comptait bien remporter la fameuse "bataille du milieu". Peine perdu, le duo Makelele-Clément a étouffé les milieux lyonnais, et réussi à alimenter les quatre joueurs offensifs alignés par Kombouaré. Face à un PSG jouant libéré, facile et rapide, l'OL n'a pas su retrouver son jeu du début de saison et était beaucoup trop lent et attentiste pour pouvoir mettre en danger les parisiens. L'ouverture du score de Giuly (qui aime décidément bien marquer contre l'OL) n'est que la conséquence du mauvais choix tactique de Claude Puel. Mais s'il faut bien lui accorder quelque chose cette saison, c'est bien sa remise en question de ses choix et de sa phylosophie de jeu. Je ne suis pas sur qu'il y a encore quelques mois, l'ancien lillois aurait réajuster son équipe dès la mi-temps : la rentrée de Gomis puis de Pjanic à donner un second souffle aux lyonnais, emmené par "Jésus" (dixit Grégory Coupet) alias Hugo Lloris, actuellement le meilleur gardien français, quoi qu'en dise les marseillais ! L'ex-niçois à été crédité d'un 9 dans l'Equipe d'aujourd'hui ! La suite, on la connaît. Malgré quelques frayeurs (qui n'en sont plus avec un gardien hors du commun), les lyonnais ont su garder le ballon et se rapprocher du but parisien. Et Gomis aurait même pu inscrire un doublé en fin de matche.

jeudi 17 septembre 2009

Incroyable Toulalan

Il est un peu plus de 20 h hier soir lorsque l'on apprend que Mathieu Bodmer, habituel titulaire au poste de défenseur centrale gauche aux côtés de l'inamovible Cris, est forfait pour le premier matche de Ligue des Champions de la saison, face à la Fiorentina. Problème : Jean-Alain Boumsong, titulaire l'an dernier est bléssé pour encore trois semaines, et Cleber Anderson est en phase de rétablissement. Claude Puel n'a plus qu'une solution, faire descendre Jérémy Toulalan d'un cran, le récupérateur si important au milieu de terrain pour combler la charnière centrale, Makoun le remplaçant au milieu.
Pas vraiment habitué au poste (il n'a joué que 3 à 4 matches à cette place dans sa carrière), il délivrera cependant une partition étonnante : bien placé, toujours dans les coups, efficace et rassurant, il évita à Lloris de se mettre en valeur. Gilardino peut en témoigner : il doit encore se demander comment Toulalan a pu revenir le tacler et sortir le ballon en corner alors qu'il se trouvait tout seul face au gardien lyonnais, à la 24ème minute. Son carton rouge reçu à la fin de la 1ère mi-temps pour un coup de coude sur...Toulalan est une preuve de son agacement envers le néo-défenseur. Mais l'inusable ancien nantais était toujours et bien là, tout le long du matche, jusqu'à la dernière minute. Courir, tacler, récupérer, aller aux duels, il sait faire, il adore ça. Physique mais pas technique, Toulalan a mis tout le monde d'accord. Jusqu'à ce qu'on se pose la question : n'est-il pas l'homme idéal pour occuper le poste avec Cris ? Bodmer n'a jamais véritablement convaincu à ce poste, et en l'absence de Boumsong, les doutes défensifs sont réels depuis le début de la saison. Seul bémol : à la gauche de Cris, il manquerait au milieu de terrain, dans la récupération et la bataille physique.
Difficile de se faire une opinion sur seulement un matche, mais Claude Puel -et Raymond Domenech- doivent bien cogiter.

mercredi 16 septembre 2009

Une victoire importante

Dans la douleur, Lyon a réussi à faire ce qu'il n'avait pas réussi lors des deux dernières saisons : remporter son premier matche de Ligue des Champions. Il aura cependant fallu attendre la deuxième mi-temps pour voir le Lyon conquérant que l'on a l'habitude de voir depuis le début de la saison, bien aidé par l'expulsion de Gilardino à la pause. Mais la Fiorentina avait décidé de jouer physique ce soir, et les lyonnais ont pris des coups. Il est vrai que Claude Puel a du faire face à deux situations inattendues : le forfait de Bodmer avant le matche, ce qui l'obligea à faire reculer Toulalan en défense centrale aux côtés de Cris, et la blessure de Bastos, sorti à la 26ème minute, remplacé par Sidney Govou. D'entrée, le plus ancien de la maison lyonnaise s'est mis au rythme du matche, et c'est lors de la seconde période que l'OL a pu développer son jeu. Heureusement pour La Viola, elle a pu se reposer sur les exploits de Frey jusqu'à la dernière minute, énorme ce soir. Seul Pjanic à su trouver la faille à la 76ème minute. A bout portant, le jeune meneur de jeu lyonnais a su garder son sang froid, et n'en fini plus de marquer : déjà troix buts cette saison toutes compétitions confondues ! Un véritable petit Juninho !
Lisandro aussi s'est mis en valeur. Lui qui n'avait plus joué depuis le matche face à Nancy, il a signé un excellent retour, s'offrant plusieurs occasions. Bien aidé par Aly Cissokho, encore maître de son côté gauche. Mais le lyonnais le plus en vu a bien été celui qui ne jouait pas à son poste : Jérémy Toulalan. Incroyable de générosité et de courage, il était le dernier rempart d'une défense lyonnaise envahie par les assauts italiens en fin de matche !

Une victoire importante qui lance la saison européenne lyonnaise qu'on espère belle et longue. Mais l'OL devra confirmer dans deux semaines en Hongrie, avant de partir vers Liverpool pour ce qui sera sûrement le choc des leaders !

mardi 15 septembre 2009

A eux de jouer !

L'Olympique Lyonnais fait son entrée mercredi soir en Ligue des Champions, pour la dixième année consécutive. Après une épopée européenne 2008/2009 faite principalement de matches complètement fous, mais terminée sur une déroute, le Lyon aura à cœur de poser définitivement sa patte au milieu des grands clubs européens. Et par la même occasion de confirmer au sceptiques -et aux journalistes qui voient Marseille comme meilleur club français, et accessoirement en demi-finales- que le moteur du football français se trouvent bien entre Rhône et Saône.

A vrai dire, il y a longtemps que Lyon n'avait abordé la Ligue des Champions avec autant de convictions. La triplette offensive Lisandro-Gomis-Bastos associée au retour réussi de Govou promettent des soirées de milieu de semaine de folie ! Hugo Lloris semble s'être complètement remis de son explusion de la semaine passée avec l'Equipe de France, comme le confirme son matche contre Lorient, tandis que la défense paraît de plus en plus sereine.

Dans un groupe à sa portée, l'OL peut viser la première place. On attend plus qu'eux.

vendredi 4 septembre 2009

Ce côté gauche

Il aura donc fallu attendre la dernière journée du mercato estivale pour connaître le groupe professionnel définitif de l'Olympique Lyonnais. Exit Grosso et Mounier, partis sous d'autres horizons (re)trouver du temps de jeu. Vu d'ici, les erreurs commises lors des deux dernières saisons sont donc renouvelées. Le flanc gauche de l'OL -gros chantier de ce mercato- se retrouve donc sans remplaçants véritables. Les dirigeants doivent donc avoir la mémoire courte pour ne pas se rappeler le manque de joueurs évoluant côté gauche lorsque les titulaires étaient absents.

En 2008/2009, le titulaire du poste de latéral gauche, Fabio Grosso, s'est fait remplacer par Kolodziejczak, pas convaincant par manque d'expérience, Mensah, défenseur centrale et Kallström, milieu de terrain. Le recrutement d'Aly Cissokho associé à la conservation de Grosso prédisait de belles heures à l'OL et, surtout, plus de prise de tête de ce côté. Mais l'OL n'a pas su conserver son champion de monde italien et se retrouve, comme depuis un an et demi et le départ de Nadir Belhadj à Portsmouth, sans doublure pour le poste d'arrière droit. Difficile pour un club qui se veut faire parti des 10 meilleurs clubs européens et souhaite remporter la Ligue des Champions.

La conservation d'Anthony Mounier aurait aussi pu être bénéfique pour pallier à une éventuelle absences de Bastos, Delgado ou Govou. Mais plus que la consistance du banc, c'est surtout et encore une fois la vente de l'un des espoirs du club qui est étonnante. Après Ben Arfa, Rémy, Benzema et Paillot, c'est le dernier grand espoir de la génération 87 qui s'en va.
Claude Puel, pourtant connu pour savoir faire confiance aux jeunes, n'a donc gardé aucun de ces cinq joueurs...et souhaité racheter Loic Rémy à Nice pour le double du prix de vente cet été..! Génération dorée, génération rejetée ? On espère qu'il en sera autrement pour les jeunes qui commencent à prendre place sur le banc et rentrer sur les terrains. Belfodil et Gonalons semblent avoir du crédit auprès du coach, Tafer beaucoup moins...

lundi 31 août 2009

Lyon, c'est en haut !

Voilà longtemps que l'on n'avait pas vu l'OL à ce niveau de jeu. Hormis quelque matches lors de la saison 2007/2008, il faut remonter à celle d'avant et son sixième sacre pour retrouver une trace d'envie collective, de talent individuel, de facilité de jeu et de mouvement. A vrai dire, il n'y a pas grand-chose à reprocher à cet OL là. Il semble désormais loin le temps du frein à main et du jeu de l'équipe reposant sur deux joueurs. Avec Pjanic à la baguette, le trio offensif Lissandro-Gomis-Bastos fait déjà très peur, et Claude Puel peut commencer à s'arracher les cheveux pour savoir comment y intégrer Govou (le capitaine fraichement nommé) lors de son retour, tout en conservant ses trois buteurs... Un problème de riche !

Cette victoire contre Nancy n'aura pas changé grand-chose côté lyonnais, hormis la conviction que l'OL détient dans ses rangs le meilleur gardien français, décisif à plusieurs reprises samedi soir, et une force collective croissante. Seule la défense centrale reste toujours perfectible, et inquiète à l'approche des gros matches (Paris, Fiorentina, Liverpool). Il y a encore du travail.

Claude Puel semble avoir appris de ses erreurs de la précédente saison, et l'OL s'en porte mieux. Premier à égalité avec Bordeaux et le PSG, l'avenir lyonnais semble s'écrire en majuscules.

samedi 29 août 2009

Un nouveau départ

Un mois et demi après le dernier billet et une nouvelle saison déjà bien entamée, il est temps pour le blog de se remettre à jour.
La période des transfert est (presque) terminée, et l'OL possède sa nouvelle belle équipe. Et pourtant, l'été lyonnais était pourtant mal parti. Au départ de Juninho s'est ajouté celui de Benzema, puis de Keita. Plus que le départ des deux stars et maître à jouer de l'équipe, c'est toute l'attaque lyonnaise qui était décimée et interpellait les supporters. Jean-Michel Aulas à donc sorti son chéquier et ramener des joueurs d'envergure à l'OL. Depuis, les premiers matches des lyonnais ont laissé entrevoir de belles promesses pour cette saison. Les "nouveaux" se sont formidablement bien intégrés, à l'image de Lissandro, déjà auteur de 5 buts depuis le début de la saison et le style de jeu développé par l'équipe est tout de même beaucoup plus attrayant que celui de l'an dernier. De la à affirmer que le départ des deux "cadors" a permis aux autres joueurs de se libérer, il n'y a qu'un pas.

Evidemment, tout n'est pas parfait, et la défense centrale est le secteur qui pose le plus d'interrogations. Bodmer-Cris, c'est solide, mais pas très rapide. Sur les ailes, Cissokho semble trouver ses marques au fur et à mesure des matches, et Reveillère à profité de la blessure de Clerc pour s'installer durablement sur le côté droit et réaliser l'un de ses meilleurs début de saison de sa carrière.
Au milieu, Kallstrom semble prendre de plus en plus d'importance au détriment de Makoun, et l'explosion de Pjanic est lancée.
L'attaque, elle, est la belle surprise de cette année. Composée de trois des quatre recrues estivales, le mélange a pris très vite et les défense de Ligue 1 (et d'Europe ?) commencent à trembler.

Reste à l'OL de réaliser ces belles promesses par la reconquête du titre de Champion de France et un très bon parcours en Ligue des Champions...
 
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