dimanche 21 décembre 2008

C'est les vacances !


Objectif atteint hier soir pour l'OL. Après 4 matchs sans victoires, les Gones se devaient de remporter le match face à Caen pour être sacrés champions d'automne, et avoir au minimum 3 points d'avance sur le(s) second(s).
Un match difficile, remporté grâce à un exploit de Benzema, qui a marqué son 10ème but cette saison. Au sein du collectif lyonnais, pas toujours à ses aises -comme souvent cette saison- plusieurs individualités sont sortis du lôt. Benzema donc, mais on commence à en avoir l'habitude, et Delgado, hauteur d'un gros match et candidat à un poste de titulaire sur la gauche ou dans l'axe. Ce pourrait être la surprise de la deuxième partie de saison. En défense, Boumsong a livré une très bonne prestations, impérial dans les airs comme sur terre. Et Kallstrom, que l'on n'attendait pas vraiment à ce niveau à un poste qui n'est pas le sien, d'autant plus que ses dernières prestations en tant qu'arrière gauche n'avaient pas été convaincante...
Au rayon des déceptions, Fred et Mensah sont en tête de liste, le premier surement à cause de ses soucis de départ cet hiver, le second, pas vraiment à son aise à droite, on l'attend toujours dans l'axe, mais à la place de qui...?

Puel peut être satisfait avant la trève, et se donner un peu d'air avant un début d'année qui sera surement tourné entièrement vers le match contre Barcelone, le 24 février.

La préparation commence...

vendredi 19 décembre 2008

N'ayons pas peur !


C'est le genre de match auquel on pense déjà quelques semaines avant. C'est le genre de match où l'on se dit "J-7, J-6, ..." C'est le genre de match qui fait trembloter, un nœud dans le ventre, et plein d'espoir dans le cœur. C'est pour ce genre de match que j'aime le football.

Il ne faut pas paniquer. Surtout pas. Lyon rencontre Barcelone en 8ème de finale de la Ligue des Champions, mais rien n'est impossible. Thierry Henry le dit lui même dans un spot TV pour une célèbre marque de rasoir (!). Si la qualification était déjà acquise pour le FC Barcelone, alors cela ne servirait à rien de jouer ces deux matchs. La vérité d'aujourd'hui ne sera peut-être pas celle de demain, ni même celle de fin février.
J'ai conscience que l'OL est inférieur au Barça, mais rien ne m'empêche de croire en un exploit. Car c'est bien de cela qu'il s'agit. L'OL devra se dépasser pour passer les 8ème, se surmotiver, comme il a déjà su le faire face au Bayern ou à la Fiorentina. Un Grand OL peut le faire. Peut-être pas battre Barcelone, mais à partir de ce stade, pas besoin de gagner pour passer. Savoir gérer deux matchs nul, avec plus de buts marqués à l'extérieur qu'à domicile, ça suffit.

Au-delà des pronostics et des espoirs, je fait confiance à Puel pour être présent le jour J. Je suppose que Juni et Cris sauront quoi faire, et Benzema, face à la plus grande équipe d'Europe actuellement, voudra se montrer et prouver qu'il est là, parmi les Messi, Eto'o et Henry.

Non, rien n'est impossible. Tout est possible même.

jeudi 18 décembre 2008

Un tirage crucial

C'est demain, à midi, que l'Olympique Lyonnais saura quel adversaire il affrontera en 8ème de finale de la Ligue des Champions. Tirage au sort crucial donc, car l'adversaire peut-être le Panatinaïkos comme Barcelone ou Chelsea... Je ne referai pas la liste des sept équipes probables à rencontrer, mais Claude Puel et ses joueurs ne me feront pas croire qu'ils seraient heureux de rencontrer Barcelone, l'équipe aux 46 buts en 15 matchs de Liga ! Évidemment, le Pana serait idéal, bien que piégeur, voir Porto, mais n'oublions pas que l'OL n'a jamais été aussi bon que dans la peau d'un outsider... A méditer donc, et rendez-vous demain !

lundi 15 décembre 2008

Au pied du sommet


C'était un match intense, plus tactique que technique, plus rigoureux que spontané. Le sommet de la 18ème journée entre Lyon et Marseille n'a pas été le choc tant attendu. L'enjeu était peut-être trop grand pour les deux formations. Marseille aurait pu prendre la tête du classement en cas de victoire, Lyon lui en prendre 6 points et le titre de champion d'automne.
Claude Puel, à vouloir trop éviter d'encaisser un but, à laissé seul aux avants-postes Benzema. Le prodige lyonnais ne peut pas tout faire, malgré quelques bonnes "occasions". Juninho, revenu après deux semaines d'absence pour trois matchs de suspension, n'avait pas le rythme pour ce genre de match. Ses deux coups-francs en 1ère mi-temps l'attestent. Et bien qu'Ederson fût encore une fois le meilleur lyonnais -il devient énorme au milieu de terrain- les phases offensives de l'OL étaient trop rares pour inquiéter Mandanda.
Au vu de la qualité du jeu des deux équipes et des changements effectués par les deux entraineurs, le nul à l'air d'être une bonne chose pour tout le monde. Sans Niang ni Cheyrou, et avec un Ben Arfa mitigé (les sifflets des supporteurs lyonnais et le traitement réservé par les joueurs, notamment Cris, ne l'ont pas aidé), Gerets ne pouvait pas vraiment espérer mieux.
Personnellement, un nul obtenu à domicile pour une équipe septuple championne de France en titre et avec 3 points d'avance sur son dauphin, l'adversaire du jour, est un mauvais résultat. On se doit de battre n'importe qui, surtout à la maison.
Puel est reconnu pour sa gagne, sa soif de victoires. Hier soir, ce devait être quelqu'un d'autre.

dimanche 14 décembre 2008

Sur la route du Ballon d'Or


Devancé depuis la semaine dernière au classement des buteurs par Guillaume Hoarau, et depuis hier soir par Fernando Cavenaghi et André-Pierre Gignac avec 10 buts chacun contre 9 pour Karim Benzema, le lyonnais comptera sur le choc de ce soir face à Marseille pour reprendre sa place. A l'image de son équipe, Benzema a toujours été présent dans les grands matchs, Ligue 1 ou Ligue des Champions. Surement affecté par cette deuxième place, l'attaquant prodige espère se mettre en valeur et permettre ainsi à l'OL de prendre ses aises en tête du classement du championnat de France. Avec dans le clan d'en face, Hatem Ben Arfa, son meilleur ennemi, la motivation sera encore plus grande. La route du Ballon d'Or est semée de matchs capitaux qui permettent d'écrire l'histoire. Ce soir, bien plus qu'un match de Ligue 1, ce sera l'occasion pour Benzema et l'OL de reprendre leurs places tout en haut, et pourquoi pas, de prouver que le trophée du meilleur footballeur français de l'année aurait du être attribué à l'attaquant de l'OL.

samedi 13 décembre 2008

4 mois d'attente...


Demain soir, l'Olympique Lyonnais affronte l'Olympique de Marseille à Gerland (21h, Canal +). Le choc du championnat. A vrai dire, j'attends ce match depuis le mois d'aout. Les deux équipes, pas en grandes formes en ce moment, prétendent pouvoir remporter le duel. Un match à six points, comme l'explique certains. A 3 points derrière Lyon, Marseille peut prendre la tête du classement en cas de victoire grâce à sa meilleur attaque. Mais Lyon, depuis le début du championnat à toujours été présent dans les grands matchs, hormis celui contre le Bayern Munich, mercredi dernier, mais dans un tout autre contexte, et sur seulement une mi-temps. Après le non-match contre le PSG, la partie de water-polo contre Valenciennes et la déception face à Nantes, j'espère que Puel saura réagir et redonner confiance au groupe. Ce match, ce sera aussi celui des chocs. Benzema - Ben Arfa est le plus médiatique, mais il y en a un que j'attends encore plus : Lloris - Mandanda. Ce sera l'occasion pour Hugo d'affirmer tous les espoirs placés en lui, et convaincre Domenech qu'il a le talent pour être titulaire en équipe de France. Car je doute que le sélectionneur ne soit pas dans les tribunes demain soir. Un match énorme contre l'OM, ça ne s'oublie pas. Mandanda avait surement réalisé l'un de ses meilleurs matchs l'an dernier, à Gerland.
Ce sera aussi l'occasion pour Benzema de reprendre sa place en tête du classement des buteurs. Au vu du personnage, je doute que les deux buts inscrits par Hoarau le week-end dernier lui ai fait plaisir...

Le 1er contre le 2ème, la meilleur attaque face à la meilleur défense, le retour dans son club formateur d'un joueur hors-normes pas vraiment apprécié par ses anciens coéquipiers, les deux meilleurs gardiens de France, le meilleur joueur du championnat de France, deux des meilleurs entraineur de Ligue 1, de là à dire que ce sera un match exceptionnel, il n'y a qu'un pas à franchir...que je fais !

vendredi 12 décembre 2008

Mais pourquoi Piquionne ?


Frédéric Piquionne a été élu Ballon de Plomb. Qu'est-ce que c'est ? Une parodie du Ballon d'Or, décernée par les lecteurs du magazine Les Cahiers du Football qui aura rassemblé le plus d'opinions négatives sur son nom, en ayant en tête les qualités footballistiques du joueur, ses choix de carrière et sa personnalité.
A partir de là, il est difficile de comprendre la raison de ce "succès". Certes, Piquionne ne s'est pas encore imposé à l'OL alors qu'il est international (1 sélection), mais ses bons matchs en pointe de l'attaque ou avec un autre attaquant ont prouvé son sens du jeu et ses qualités de passeurs. Son match et son but le week-end dernier face à Nantes en atteste. Et malgré son faible temps de jeu, Claude Puel lui a fait confiance aussi bien en championnat qu'en Ligue des Champions, le préférant même à Fred certaines fois. De plus, lors de sa signature, personne n'attendait de lui qu'il pousse Benzema sur le banc, pas plus Puel que les médias. Je suis même sur que lui savait pertinemment qu'il jouerait moins que Benzema et Fred, privilégiant plutôt la qualité de la formation lyonnaise et la possibilité de jouer la Ligue des Champions que son temps de jeu. Quand à sa personnalité, personne ne peut rien lui reprocher. Exemplaire sur le banc, jamais de coup de gueule, toujours souriant.

Je vois dans cette élection plus un dénigrement de l'OL et de la moquerie contre le club plutôt qu'une vraie déception sur les qualités du joueur.

Finalement, on peut espérer que ce trophée -à prendre avec humour- révoltera son ego et fera taire les votants...!

La question Keita


C'était le 14 juin 2007, et tout le monde s'accordait à dire que l'OL venait de réaliser LE gros coup de ce mercato estival. L'arrivée de Kader Keita -en même temps que celle de Mathieu Bodmer- pour le prix de 24 M€ les deux, dont 18 M€ pour l'Ivoirien- dans le Rhône annonçait une année exceptionnelle sur le plan offensif pour l'OL, et terriblement dure pour Sydney Govou, titulaire du poste d'ailier droit depuis 8 ans. Keita faisait en effet parti des 4 prétendants au trophée UNFP du meilleur joueur de Ligue 1 2006/2007, à la suite d'une saison impressionnante avec le LOSC et d'un bon parcours en Ligue des Champions. Il était un de ces joueurs imprévisibles, au style bien à lui, capable de faire basculer un match sur un geste, avec l'expérience de la Coupe d'Europe. Claude Puel, alors entraineur du LOSC, l'avait fait venir du Quatar en juillet 2005 de l'Al Saad Doha. Joueur trop dispersé, il avait réussi à le "façonner" et à en faire un véritable bijou, pièce maitresse de l'attaque lilloise. Auteur de 9 buts en 36 matchs, les 18 M€ demandés par le club n'étaient pas exagérés, et Jean-Michel Aulas n'hésita pas à les mettre sur la table. Et tout Lyon s'enflamma. Un peu trop.

Son début de saison fût un calvaire. Propulsé titulaire par Alain Perrin (qui ne l'aurait pas fait ?) Keita peina à convaincre, malgré quelques tentatives de beaux gestes (Lyon-Auxerre). Son plus mauvais match fût sans aucun doute contre Monaco, totalement à côté. L'émergence de Ben Arfa lui fût fatal. Et la presse s'acharna sur lui. Les 18 M€ ont incontestablement pesé sur lui. Trop de pression, trop d'attente. Lui qui avait toujours joué dans des club moins huppés, moins intéressants pour la presse, le voilà propulsé sur le devant de la scène, avec un statut de magicien à assumer.
Son premier but vînt le 31 octobre, en 8ème de finale de la Coupe de la Ligue, contre Caen. Pas vraiment un exploit. Et ça ne le relança pas. Au même moment, Ben Arfa explosait tout sur son passage et affolait les défenses. La trêve hivernal lui fît du bien, et malgré sa première moitié de saison chaotique, il fût convoqué par Henri Michel avec la sélection Ivoirienne pour disputer la CAN 2008. Totalement débarrassé de ses complexe lyonnais, au milieu de ses potes, Keita fera une grande compétition et en sera l'un des meilleurs joueurs. Avec 4 buts à son actif, il revient à Lyon en confiance. Mais Perrin n'est pas convaincu. Il faudra attendre le mois de mars, et la disgrâce de Ben Arfa par Perrin pour que Keita retrouve une place sur le côté droit. Il arrive tout de même à inscrire 4 buts, dont un doublé face à Monaco, en 30 matchs. La saison s'achève et Keita peu être rassuré : Alain Perrin s'en va, et son ancien entraineur du LOSC, Claude Puel, prend sa place.

Les deux hommes se connaissent bien, après quatre saisons ensemble à Lille. Mais une blessure à son bras droit l'empêche de débuter sa saison en aout. Il ne reviendra qu'en septembre, avec toute la confiance de Puel. Son formidable but face au Steaua Bucarest sonne la révolte des lyonnais. Mais depuis son arrivée à Lyon, Keita n'est plus le même joueur. Il s'est passé quelque chose. La montée en puissance de Delgado lui fait concurrence, Puel préférant plusieurs fois l'argentin à l'ivoirien. Sa non-convocation face à Bordeaux en Novembre pour cause de retard à l'entrainement est un symbole. Keita doit se remettre en question. La rigueur de Puel ne peut être que bénéfique pour un joueur si dispersé, notamment sur le terrain. Un "chien-fou" comme le surnomme certains supporteurs !

Le prix de son transfert a incontestablement pesé sur lui, mais plus d'un an plus tard, on sent Keita prendre ses marques au sein de l'OL. Plus dans un rôle de joker que de titulaire, la machine commence à être rôdé. C'est un joueur qui a besoin de confiance, de soutien. Son jeu durant la CAN 2008 en atteste : au sein de ses amis, il s'est retrouvé. Encore quelques mois, et Kader Keita devrait pouvoir confirmer tous les espoirs placés en lui entre Rhône et Saône.

jeudi 11 décembre 2008

Pas si tragique !


J'ai dit dans mon premier post il y a deux jours que l'OL était capable de me faire rêver, puis de m'énerver. Hier soir, c'était l'inverse. Comment peut-ton être en un match, aussi médiocre que fantastique ?

En un match, nous avons tout vu. Des buts, des poteaux, des arrêts de grande classe, des gestes techniques de folie ! Quel match ! A vrai dire, ce matin, la deuxième place ne me préoccupe pas plus que cela. Comme je l'ai dit hier, il y a des gros clubs dans d'autres groupes qui ont terminé deuxièmes. Et puis, il faut aussi se souvenir que l'an dernier, l'OL a été éliminé en 8ème face au futur vainqueur par un but d'écart seulement. D'ici le tirage au sort (vendredi 19 décembre), nous aurons le temps d'analyser les potentiels adversaires.

Hier soir, j'attendais avec impatience le retour d'Ederson au milieu de terrain. Il a prouvé à Puel que sa place est bien ici, et pas excentrée sur un côté. Le seul joueur à surnager durant la première pèriode. Il a gagné des points, c'est sur. Pour le reste des joueurs, il a fallu attendre la seconde mi-temps pour les voir à leurs niveaux. Et quel mi-temps de Benzema ! 12 buts en 17 matches de Ligue des Champions ! Et déjà 5 cette saison ! Incroyable.

Au final, le bilan est plutôt positif à mes yeux, et le turnover de Puel, tellement contesté, pourrait être une clé pour l'avenir européen de l'OL. J'en suis certain.

mercredi 10 décembre 2008

Un enjeu en bois ?


Ce soir à Gerland, Lyon affrontera le Bayern Munich pour la dernière journée de la phase de poule de la Ligue des Champions (20h45, Canal +). Un match pour la 1ère place. Mais est-elle vraiment obligatoire pour la suite de la compétition ?

L'histoire ajoutée aux statistiques démontre que 2 fois sur 3, le club ayant terminé premier dans son groupe accède aux quarts de finales. L'avantage étant que le premier d'un groupe rencontre le second d'un autre et joue le match retour à domicile. Mais les résultats d'hier soir et le classement final des groupes A, B, C et D ne m'enchantent pas plus que ça. En effet, Chelsea et l'Inter Milan ont terminé tous les deux seconds de leurs groupe respectif, derrière l'AS Rome et la Panathinaïkos (!). Soit deux potentiels vainqueurs de la compétition... De leurs côtés, Barcelone et Liverpool ont terminé premiers. On est donc en droit de se demander si terminer premier ou deuxième ne reviendrait finalement pas à la même chose, à la différence du match retour joué à domicile. Vaut-il mieux jouer le Panathinaïkos avec match retour en Grèce, ou Chelsea avec match retour à Gerland ? Le tirage au sort en décidera. Mais Lyon à les cartes en mains pour choisir à quelle place il souhaite terminer. Personnellement, le match retour à Gerland me parait être un avantage considérable, peut importe l'équipe qui se présentera en face. Avec les retours de certains joueurs d'ici début 2009, le club peut faire des exploits.

Côté terrain, Puel devra encore composer avec pas mal d'absences. Juninho, Cris (suspension), Bodmer, Pjanic, Clerc, Réveillère et Piquionne (blessures). J'ai hâte de revoir Ederson à son vrai poste, au milieu, et de voir ce que Delgado peut faire en Ligue des Champions. La suspension de Juninho sera un vrai test pour l'équipe, mais pourra compter sur Benzema, sur le banc ou sur le terrain. La présence du jeune Yanis Tafer dans le groupe pourrait aussi être la surprise de fin de match...

mardi 9 décembre 2008

Le premier jour...

Il est toujours difficile d'écrire un premier papier d'un premier blog. Celui-ci n'échapperas pas à la règle. Je vais donc commencer par me présenter brièvement : amateur de football et supporter de l'OL depuis plusieurs années, j'ai donc décidé d'ouvrir un blog consacré à cette équipe. Des matchs aux joueurs, du staff au stade, de la ville à l'Europe, ce blog sera l'espace idéal pour y déposer mes opinions, mes ressentis, mes espoirs, mes coups de cœur, mes coups de gueule . Souvent heureux, jamais trahi, capable de me faire rêver puis de m'énerver, il y a l'OL et les autres.
A la veille d'un Lyon / Bayern Munich qui sera l'affiche de cette dernière journée de Ligue des Champions, l'occasion était trop belle d'ouvrir aujourd'hui ce blog. Je ferai de mon mieux pour le faire vivre. Pour l'OL. Il le vaut bien.
 
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